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L’interconnexion au cœur des flux du datacenter et de ses clients – Telehouse

Telehouse propose le réseau de datacenters le plus interconnecté au monde, et en a fait le cœur de son offre à ses clients. Sami SLIM, Président de Telehouse, revient sur l’importance des interconnexions au sein des flux de données dans le datacenter.

Acheter et rétrofiter un datacenter, une stratégie responsable et souveraine – Okan TUREDI, NDC

Okan TUREDI, Directeur général de Nation Data Center (NDC), nous décrit la stratégie responsable et souveraine de NDC et son choix du retrofit appliqué sur un datacenter de 45 ans acquis par NDC à Val-de-Reuil. Une vidéo captée à l’occasion de l’événement DC Modernisation & Retrofit 2023, organisé par DCmag en partenariat avec NDC et le Club OPEX.

Datacenters et économie circulaire, les rendus du groupe de travail de France Datacenter

L’économie circulaire dans le datacenter, les rendus des travaux du groupe de travail économie circulaire de France datacenter. Avec Aurore NICOLI, Directrice du Développement de CBRE France division DCS, et membre du conseil d’administration de France Datacenter.

Des datacenters dans les territoires, de proximité, souverains et qui créent des emplois – Nexeren

Avec un parc de 5 datacenters et 2 en construction en région Rhône-Alpes, Nexeren affiche un profil d’excellence d’un acteur régional du datacenter souverain au service de son territoire et de ses organisations, en particulier les TPE et PME. Laura THALMANN, Directrice Marketing Cloud Datacenters de Nexeren, évoque les services de datacenters de proximité certifiés, sécurisés et souverains, engagés sur la durabilité et l’environnement, et créateurs d’emplois.

Des services de datacenter pour les TPE et PME sur les territoires – Laura THALMANN, Nexeren

Datacenter Proximity – Nexeren entend mettre l’accent sur des datacenters de proximité sur les territoires. Elle offre des services aux TPE/PME avec 5 datacenters certifiés Tier III et IV, HDS, ISO 27001, etc., en région Rhône-Alpes. Avec Laura THALMANN, Directrice Marketing Cloud et Datacenters de Nexeren.

XL 360, datacenter à Toulon, ouvre ses portes en compagnie de Schneider Electric

Le datacenter XL 360, pôle numérique du Var, ouvre ses portes à Toulon, interview de Xavier Lafaure, fondateur et Président de XL Data Center, et Damien Giroud, Directeur des Ventes Schneider Electric.

La france, un vivier de data centers toujours plus soucieux de l’environnement
Par DATA4

La France compte sur son territoire des centaines de data centers de tailles, configurations et usages variés. Face à la question de l’impact écologique, les data centers français s’imposent comme de bons élèves, car ils s’inscrivent dans une démarche d’éco-efficience et recourent de plus en plus pour leur fonctionnement aux énergies renouvelables.

Afin d’optimiser l’efficacité énergétique des data centers et par conséquent limiter leur empreinte écologique, la France fait appel à diverses compétences et expertises pour la conception, la construction et l’exploitation de ces infrastructures. Grâce au free cooling, les acteurs de l’industrie française du data center sont désormais capables de mettre en place des data centers aussi performants énergétiquement que ceux des pays nordiques. Également appelée refroidissement naturel, cette technique permet de parer à l’effet joule – dissipation de l’électricité sous forme de chaleur – généré par les équipements informatiques en utilisant des sources naturelles telles que l’air ou l’eau pour refroidir les data centers. Les data centers limitent ainsi le recours à la climatisation ce qui réduit considérablement leur consommation d’énergie. Utilisée par la grande majorité des nouveaux data centers, cette technologie développée par les acteurs de l’industrie française du data center offre désormais la possibilité d’installer des data centers sur l’ensemble du territoire national.

La France affirme également sa volonté de réduire la consommation d’énergie des data centers implantés sur son territoire en se conformant au code de conduite instauré par la Commission Européenne sur la conception et le fonctionnement des data centers. Mis en place en 2008, ce programme qui permet aux data centers d’atteindre un gain de performance énergétique de 30 % engage aujourd’hui près de 300 data centers sur le Vieux Continent et une soixantaine dans l’Hexagone. C’est d’ailleurs en France que se situe le premier data center répondant aux exigences de code de conduite européen.

LA FRANCE, POUR DES DATA CENTERS DE PLUS EN PLUS TOURNÉS VERS LES ÉNERGIES RENOUVELABLES

De nos jours, les centrales à charbon ne sont plus les seules alternatives pour faire tourner un centre de traitement de données c’est-à-dire un data center. L’alimentation des data centers dépend du mix énergétique de leur pays d’accueil. En France, l’énergie renouvelable est désormais nettement privilégiée face aux centrales à charbon. En effet, l’électricité consommée par les data centers français provient aujourd’hui à hauteur de 20 % de sources renouvelables, contre moins de 2 % à partir des centrales à charbon. Certains data centers compensent intégralement leur consommation d’énergie avec de l’énergie verte. Pour ce faire, ils souscrivent des contrats spécifiques auprès de leurs fournisseurs d’énergie. Ces contrats permettent de garantir que 100% de l’électricité consommée dans les Data Centers corresponde à 100% d’électricité d’origine renouvelable injectée dans le réseau électrique du fournisseur d’électricité.

Dans les prochaines années, les data centers s’intégreront dans les régions françaises. Et ce, conformément aux schémas énergétiques locaux. Le but étant d’une part, d’optimiser l’utilisation des énergies renouvelables par la régulation de la demande et d’autre part, de rendre plus facile la valorisation de la chaleur émise par les data centers pour le chauffage urbain. Le transfert de données pourra dès lors se faire vers le centre de traitement de données qui utilisera le plus d’énergies renouvelables pour fonctionner à un moment donné. Des contrats entre les opérateurs de data centers, les clients utilisateurs et les fournisseurs seront nécessaires dans cette optique.

DATA4 GROUP, UN OPÉRATEUR DE DATA CENTERS RESPECTUEUX DE L’ENVIRONNEMENT

Présent en France, mais aussi en Italie et au Luxembourg, DATA4 Group est l’opérateur qui possède le plus grand et le plus puissant campus de data centers en Europe. En effet, il met à votre disposition pas moins de 121 Ha de réserves foncières pour l’hébergement de vos données. En termes de ressources électriques, nous disposons de 146 MW qui proviennent exclusivement d’énergies renouvelables. Soucieux de l’impact environnemental, nous mettons tout en œuvre pour que nos data centers atteignent une performance énergétique (PUE) proche de 1.

Pour vous garantir une pleine et entière satisfaction, DATA4 Group prend en charge le financement, la conception, la construction et le fonctionnement de ses propres data centers afin de vous proposer des solutions d’hébergement agiles, évolutives, sécurisées, performantes et bien sûr respectueuses de l’environnement. Nous vous proposons un large portefeuille de services qui va de la simple baie en espace partagé à un bâtiment dédié.

Implantation de data centers : la France dans le top 10 mondial des pays les plus attractifs

Par Arcadis

Avec une très bonne cybersécurité, un réseau énergétique fiable et des initiatives gouvernementales visant à accélérer la numérisation de l’économie, la France offre un environnement favorable à l’accueil de data centers, à condition néanmoins d’en améliorer les performances énergétiques.

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, publie « The Arcadis Data Center Location Index 2021 », une étude comparative des pays dans lesquels il est intéressant d’investir dans les data centers. Les Etats-Unis, le Japon et Singapour trustent le podium, tandis que la France se classe 9ème sur une cinquantaine de marchés intérieurs étudiés. L’index prend en compte plusieurs critères : le PIB par habitant et la taille du marché intérieur, la facilité à obtenir les autorisations d’urbanisme, le prix de l’électricité, la sécurité énergétique, la cybersécurité ou encore le niveau d’équipement en haut débit et la bande passante moyenne.

La crise sanitaire a mis en lumière et renforcé des tendances de fond comme le télétravail, le commerce en ligne et plus largement l’utilisation du numérique dont les besoins explosent, et nécessitent la construction et l’exploitation de datacenters à travers le monde. Des implantations elles-mêmes accélérées par la création de nouveaux réseaux d’accès (5G, FTTH).

La France est aujourd’hui le troisième plus grand marché des technologies de l’information et de la communication en Europe et est le dixième plus grand marché intérieur mondial. Par ailleurs, la France est un territoire favorable au développement des data centers car elle offre de bonnes performances en termes de cybersécurité et son réseau énergétique est l’un des plus fiables d’Europe, constituant ainsi un environnement idéal de ce point de vue. L’intérêt des investisseurs pourrait être décuplé par les initiatives gouvernementales récentes, comme l’allégement de la fiscalité énergétique en complément du développement du très haut débit sur l’ensemble du territoire. Une volonté régulièrement affirmée, comme lors de l’inauguration d’un centre de données en 2019, où Bruno Le Maire déclarait vouloir faire de la France « la première terre d’accueil de data centers en Europe. »

Une volonté qui s’inscrit également dans la compétition sur le contrôle des données, dans le sillage de la promulgation du CLOUD (Clarifying Lawful Overseas Use of Data) act américain, l’Union européenne préparant via son plan de relance numérique des mesures destinées à mieux contrôler ses données et son autonomie.

L’investissement en data centers en France représente donc un véritable enjeu au niveau national avec une très forte concentration d’installations en région parisienne. Le sud de la Seine Saint-Denis est ainsi particulièrement prisé et offre des possibilités de reconversion de friches industrielles, une aubaine pour les collectivités en périphérie qui souhaitent capter ces investissements. « Ces implantations massives soulèvent néanmoins des interrogations majeures, sur l’impact foncier à long terme et l’intégration urbaine ou encore la faible création locale d’emplois », précise Nicolas Boffi, City Executive Paris chez Arcadis.

Cette volonté d’attirer les data centers dans l’hexagone a néanmoins très récemment été tempérée par une proposition de loi adoptée au Sénat en janvier 2021 pour réduire l’empreinte environnementale du numérique. Elle prévoit d’obliger les data centers à prendre des engagements juridiquement contraignants auprès de l’Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse). « Des mesures qui vont de toute manière dans le sens des initiatives prises par les acteurs du secteur pour réduire leur consommation énergétique via des innovations à tous les niveaux : matériel comme logiciel », ajoute Nicolas Boffi. L’idéal étant d’intégrer à terme ces équipements dans d’autres programmes immobiliers pour améliorer l’impact foncier et faciliter la récupération de chaleur fatale, à l’instar de l’initiative de la Ville de Paris à Chapelle International.

Datacenter en France : les défis de l’implantation et l’attractivité des régions
Par CBRE - Arcadis
Nicolas Boffi, City Executive Paris chez Arcadis
Ludovic Chambe, Directeur Développement Durable chez CBRE
Pierre-Louis Dumont, Executive Director Agence Industriel & Logistique – Data Center Solutions, chez CBRE

On oublie souvent que la France possède des centaines de datacenters : des très gros stockant plusieurs dizaines de milliers de serveurs aux petits centres régionaux ou locaux ayant des capacités de quelques centaines de serveurs. Se posent de nombreuses questions : comment un pays peut-il attirer des datacenters ? Comment les implanter ? Au-delà du technique, il y a la question du foncier, la disponibilité énergétique et l’attitude des élus locaux et de la population. Autant de sujets sensibles qu’il ne faut pas négliger. 

Nous avons rencontré Pierre-Louis Dumont et Ludovic Chambe de CBRE, et Nicolas Boffi, City Executive Paris chez Arcadis.

Il faut distinguer les gros datacenters, typiquement ceux des hyperscaleurs, des opérateurs de datacenters et les autres. Les « autres » regroupent une réalité multiple : opérateurs régionaux, agglomérations et villes, éditeurs, grosses PME… Ils peuvent aussi correspondre au déploiement du Edge (souvent lié aux IoT) et à la 5G. En île de France, comme le rappellent les experts de CBRE, plusieurs clusters ont pris le marché : la Plaine Saint-Denis, et dans le sud parisien, les clusters de Vitry et de Marcoussis. Historiquement, la Plaine Saint-Denis a rapidement concentré les grands projets, notamment avec les importantes friches foncières. Cela a été favorisé par un volontarisme local et des autorités pour redynamiser un tissu urbain en souffrance. Et la taxe professionnelle était un avantage financier non négligeable pour certaines villes, du moins jusqu’à sa réforme. 

Mais ces clusters parisiens arrivent à saturation, excepté Marcoussis avec la stratégie de Data4 : le foncier disponible se réduit et il y a une réelle tension sur les sources électriques. Pour beaucoup d’acteurs, il faut être proche de ces clusters !

Tension sur le foncier

Tous les experts interrogés s’accordent sur les tensions sur le foncier. Le datacenter a besoin d’un terrain, qu’il soit déjà construit ou vierge. Mais le datacenter rentre en concurrence avec deux secteurs : l’immobilier (de bureau ou d’habitation) et la logistique. Cette dernière nécessite de grands espaces fonciers, et c’est justement ces superficies que les acteurs du datacenter cherchent. Comme l’explique CBRE, il faut savoir se positionner rapidement, mais le datacenter doit composer avec des conditions suspensives particulières, et l’obtention d’autorisations que la logistique et l’immobilier n’ont pas. Par exemple, il faut pouvoir étudier la faisabilité de raccordement au réseau haute tension, car une étude Ennedis peut prendre entre 6 et 8 semaines. Pour des cabinets de conseil comme CBRE, ces contraintes ralentissent les dossiers et la réactivité n’est pas en leur faveur.

Les autorisations administratives sont impératives pour pouvoir déposer le dossier d’un datacenter, le construire puis l’exploiter. Si l’ICPE est le document le plus souvent cité, d’autres ne sont pas à négliger et peuvent générer des retards dans les projets : D.I.U.O, plan ETARE (si besoin), plan sécurité / incendie, sans oublier les permis de construire. Bref, les préfectures et les municipalités regarderont de près les demandes.

Trois critères se dégagent de nos échanges :

  1. La localisation du foncier : comme dans l’immobilier, “la localisation, la localisation et la localisation”. Par exemple, à quelle distance se situe le futur datacenter par rapport aux interconnexions de la fibre.
  2. Les autorisations.
  3. Les risques : le foncier n’est pas dans une zone à risque ou s’il est proche d’un site industrie à risque.

La localisation est un facteur clé, notamment pour les gros datacenters, les opérateurs : il faut être proche d’un cluster, des sources électriques et bien entendu des interconnexions télécoms. Pour d’autres acteurs, la localisation reste importante, mais le postulat change ; ainsi la connectivité au réseau n’est pas forcément un critère primaire. 

La crise du Covid et la transformation numérique ont fait prendre conscience de la nécessité d’avoir des infrastructures et de la ressource informatique disponibles au plus près des entreprises et des utilisateurs. Le développement régional des datacenters répond aussi à cette nécessité. Des projets seront prêts à s’éloigner de quelques kilomètres pour avoir un meilleur prix du foncier, quitte à perdre un peu en qualité réseau. 

L’attractivité du datacenter

Aujourd’hui, CBRE constate que les demandes de datacenter restent majoritairement proches des métropoles actives et des centres urbains dynamiques. Les régions peu attractives ou ayant une activité technologique / économique moindre restent souvent à l’écart des datacenters et les élus ne chercheront pas forcément à les attirer. Nos experts font un constat récurrent vis-à-vis des élus locaux / régionaux : le datacenter n’est pas perçu comme une industrie créative de valeur ou d’emploi. Ils vont plutôt chercher les startups, qui sont vues comme créatrices de valeur et sans doute moins clivantes que le datacenter.

Le datacenter, même si le terme est répandu, garde une image peu attractive : gros bâtiment, peu écologique, consommateur d’énergie, peu d’emploi. Malheureusement, de nombreux élus ne comprennent pas la réalité du datacenter et les enjeux : oui, le datacenter génère peu d’emplois directs, mais il y a l’incroyable potentiel de l’emploi indirect, ainsi que l’intérêt des entreprises pour utiliser une infrastructure proche et donc être un élément pour s’implanter localement. La crise actuelle peut aider à changer cette image fantasmée du datacenter. Le rôle d’un partenaire comme Arcadis et CBRE est aussi d’évangéliser sur la réalité du datacenter et de discuter avec les acteurs et les élus locaux.

Plus globalement, la France est-elle une terre de datacenter ? Arcadis répond positivement : le pays possède de nombreux atouts. On peut citer : la position géographique, les câbles océaniques, le déploiement de la fibre, les plans étatiques pour favoriser le numérique et les datacenter, la qualité du réseau électrique. Les incitations gouvernementales, l’allégement de la fiscalité, des démarches administratives et d’urbanisme facilitées sont autant d’atouts, du moins des éléments positifs pour attirer les acteurs majeurs et donc les gros datacenters. 

Mais il faut aussi reconnaître qu’au-delà de cette relative positivité, la situation est diverse. Les élus locaux peuvent exprimer leurs craintes quand ce n’est pas des refus catégoriques. Mais globalement, la France n’est pas plus procédurière que d’autres pays, comme le notent les experts d’Arcadis. Ils notent, à l’instar de CBRE, une double tendance : la poussée des hyperscaleurs et des datacenters régionaux. Et les acteurs ne sont pas les mêmes et les besoins différents. Mais là encore, Arcadis ne peut que constater la concurrence sur le foncier. Si la construction de grands datacenters en périphéries des villes ou en pleine campagne reste une marque du marché, la tendance de créer des structures plus petites et plus proches des besoins locaux est forte. Arcadis voit aussi des convergences entre l’immobilier et le datacenter, avec la création de datacenters « boîte à chaussures » dans des projets mixtes. 

Les dernières élections municipales françaises ont vu plusieurs métropoles élire des maires écologistes (même si ce terme recouvre des réalités très diverses). Est-ce que des acteurs comme Arcadis ou CBRE en tiennent compte ? Sans plus de précisions, tout le monde constate la situation politique et compose avec. Les clients demandent de plus en plus d’améliorer les performances énergétiques des futures datacenters, répondre au mieux aux attentes et craintes locales, améliorer le design des bâtiments. 

Pourrait-on voir fleurir d’immenses installations solaires pour fournir l’énergie nécessaire aux datacenters, comme on peut le voir dans certains pays ? En France, cela semble difficile, le foncier en Arizona n’est pas celui d’un département français ! Mais le datacenter peut mieux valoriser et favoriser la production d’électricité renouvelable.

Les métiers du datacenter en Afrique
Par CAP DC

Les métiers du datacenter en Afrique, par Olivier Labbé, Directeur général chez CAP DC et membre de l’Africa Data Centres Association.

Un datacenter au Sénégal

Territoires – Afrique : Découverte du datacenter d’Orange-Sonatel au Sénégal, par Kiné DIAGNE DIME, chargée du business development cloud et datacenter.

Les métiers du datacenter en Afrique

Territoires- Les métiers du datacenter en Afrique, par Olivier Labbé, Directeur général chez CAP DC et membre de l’Africa Data Centres Association.